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couverture du livre Le Bita’hone du Maharal de Prague écrit par Amar Yves

Amar Yves Le Bita’hone du Maharal de Prague

140 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 90 g offset
Style litteraire : Autres
Numéro ISBN : 978-2-9554698-0-4

20.69 € TTC

Frais de port inclus France
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Présentation de Le Bita’hone du Maharal de Prague


Ce livre intitulé : « le Bita’hone du Maharal de Prague » repose essentiellement sur les enseignements de ce sage du XVIe siècle, connut notamment pour sa grande profondeur dans la Torah et son érudition dans la Kabbale. Cet ouvrage pourrait aussi avoir pour titre : « Le secret de la réussite ».

En effet, le Maharal zal s’évertue à donner une recette pouvant mener à la réussite dans tous les domaines comme la santé, la famille, la prospérité. La confiance en Dieu est plus que nécessaire aujourd’hui où tant d’événements viennent bouleverser nos vies.

Par la compréhension et l’intégration de cette qualité, une existence nouvelle s’ouvre à nous, plus agréable, plus comblée, plus remplie. Vous découvrirez une méthode incluant des exercices qui vous mèneront, si Dieu le veut, à plus de bonheur et de clarté, parce que votre confiance sera plus grande. En application, vous trouverez un chapitre développant les moyens permettant d’arrêter de fumer et de perdre du poids.


Extrait du livre écrit par Amar Yves


Qu’est-ce que la confiance en Dieu ?

Le Maharal de Prague Zal débute son chapitre sur la confiance en Dieu de la manière suivante : « il est écrit dans le livre des proverbes (23) : « ait confiance en ton Dieu de tout ton cœur, et ne t’appuie pas sur ton discernement ».

Le Roi Salomom veut nous faire comprendre ici que nous devons mettre une confiance absolue en Dieu, sur ce que nous avons besoin et ne pas nous appuyer sur notre discernement, sur notre logique, en nous disant que par telle ou telle action, nous obtiendrons telle ou telle chose, mais nous devons mettre toute notre confiance en Dieu ».

Nous devons mettre notre confiance en Dieu quelle que soit la situation, une confiance absolue, totale. Même si, à cette confiance, s’oppose une réalité qui pourrait nous inciter à supposer une issue différente, nous ne devons pas lui donner du crédit, mais seulement croire. Pour faire simple : si nous devons nous lancer dans la vie active. Nous ne devons pas nous dire que ça va être obligatoirement difficile, que nous allons rencontrer des obstacles comme tout le monde aujourd’hui.

Si notre choix est réfléchi et pensé, comme faisant partie de ce que Dieu nous demande, nous devons seulement croire. Cela peut paraître difficile, car instinctivement, nous avons tendance à anticiper ce qui va se produire, afin de nous préparer à réagir. C’est justement ce sur quoi le Roi Salomon nous met en garde. Nous devons voir l’issue favorable, pour la seule raison que nous croyons en Dieu et Il nous apportera, ce dont nous avons besoin. Visualiser un aboutissement heureux est utile pour chasser le doute. Nous ne devons pas nous arrêter à ce que nous saisissons. Le chemin qui nous fera avancer est déjà tracé, ou plutôt, nous devons le voir comme tel, ça n’est que nous qui retardons notre progression, par notre manque de confiance. Une fois que nous avons fait ce que nous pouvions faire pour réussir, que ce soit dans notre réflexion et dans nos actes, nous ne devons plus que croire, croire que Dieu nous montrera la suite du parcours.

J’insiste sur le fait que nous devons voir comme si le chemin était tracé. Nous devons également réaliser, que ce ne sont pas nos actions ou nos plans qui nous font réussir, mais la confiance que nous mettons en Dieu. Nous pouvons engager les meilleurs collaborateurs, les meilleurs conseillés, acheter les meilleures machines, le meilleur matériel, mais en réalité, c’est le Tout-Puissant qui nous fera aboutir. C’est à ça que nous devons penser au moment où nous agissons, mais aussi, à l’instant où nous planifions. Je ne suis pas en train de dire qu’il ne faut pas réfléchir, ni même qu’il faut s’appuyer sur des miracles, mais ce vers quoi doit se porter toute notre attention, c’est que Dieu fera réaliser la pensée qui nous habite. Prenons l’exemple d’un étudiant préparant un examen. Il a révisé tous les chapitres demandés dans les moindres détails. Mais, il ne maîtrise pas la totalité, avec la même expertise. Certaines matières sont claires, intégrées, il connaît les implications de chaque théorème. D’un autre côté, d’autres volets sont sus, mais moins en profondeur, plus superficiellement. Dans une telle situation, notre étudiant pense que ça devrait bien se passer, mais il s’attend à une grande différence si le sujet tombe sur ce qu’il ne maîtrise pas parfaitement.

Ce que lui dit notre enseignement, c’est qu’il ne doit pas anticiper, s’imaginer la suite, mais une fois qu’il a fait ce qu’il lui était possible de faire, il doit reporter toute sa confiance en Dieu. Il doit ressentir une confiance telle qu’il a la certitude que Dieu réalisera ce sur quoi se focalise sa pensée, c’est-à-dire la réussite parfaite à son examen.