Mbala mavoka christophe LES ÂNESSES DE KIS
108 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 80 g offset
Style litteraire : Autres
Numéro ISBN : 978-2-9559106-0-3
19.77
€ TTC
Frais de port inclus France
Métropolitaine uniquement
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Présentation de Mbala mavoka christophe
éditeur de LES ÂNESSES DE KIS
Christophe Mbala Mavoka est originaire de la République démocratique du Congo. De formation supérieure juridique, le frère Mbala rencontre le Seigneur Jésus-Christ en 1993.
Il reçoit les bases solides de la sainte doctrine à Emmaüs (Cours bibliques par correspondance), ensuite il intègre l’Institut Biblique de Nogent-sur-Marne où il étudie « La Théologie pastorale et missiologie ».
Il enseigne actuellement la parole de Dieu à l’Assemblée évangélique « La Fraternité » « AEF ».
Présentation de LES ÂNESSES DE KIS
Depuis la sortie d’Égypte, Israël était gouverné par le céleste Souverain. Moïse et les soixante-dix anciens avaient pour mission de veiller au respect de la loi. Après son installation dans le pays où coulent le lait et le miel, Israël n’obéit pas à tous les commandements de l’Éternel, puisqu’il ne détruit pas toutes les nations qui occupaient le territoire de Canaan.
Dans les premiers temps, le peuple se conformait aux principes théocratiques. Peu à peu, cette cohabitation va apporter un changement profond dans les relations entre Dieu et son peuple. L’accroissement de la population et les relations avec les nations païennes amènent à un changement de mentalité. Les Hébreux commencent à adopter bon nombre de coutumes de ses voisins idolâtres, et le caractère saint qui les distinguait des autres nations s’étiole. Attiré par les fastes de monarques païens, Israël rejette son Dieu pour disposer d’un gouvernement humain. Ce rejet n’altère pas l’amour du Très Haut envers son héritage, puisqu’il va répondre à la demande populaire.
Il va choisir un jeune paysan inexpérimenté nommé Saül, de la tribu de Benjamin, sous prétexte d’aller chercher les ânesses perdues de son père, Kis, pour le conduire vers le prophète Samuel afin de l’établir roi d’Israël.
Extrait du livre écrit par Mbala mavoka christophe
C’est au travers des instruments humains que Dieu accomplit ses desseins. Depuis l’ancien temps, Dieu commence toujours par un individu pour atteindre une multitude. Il le sélectionne au sein d’une famille. À Eden, il confie à Adam la garde du jardin. Il demande à Abram de quitter sa patrie pour faire de lui une grande nation. Au fil du temps, la cellule familiale devient un vivier pour ses serviteurs. Lorsqu’il décide de détruire la terre, il met à l’abri Noé et sa famille. Et c'est par cette même famille que l’humanité sera relevée et restaurée. Pour délivrer son peuple de l’esclavage, la famille Erram est mise en évidence en la personne de Moïse. Il confie la sacrificature à la famille d’Aaron. La famille de Lévi prend en charge l’entretien du sanctuaire. Pour sauver l’Egypte de la famine, il choisit dans la famille de Jacob, son fils Joseph, pour être non seulement une source de bénédiction pour cette nation mais aussi pour sa famille. Les hommes comme David, Samson, Jean Baptiste, Gédéon etc. sont tous issus de cette pépinière familiale.
Lorsque Dieu décide de répondre à la demande populaire, il ne déroge pas à sa propre règle. Il va jeter son regard souverain dans la famille Kis.
Kis, riche propriétaire puissant et influent, vivait paisiblement à Guibea. Selon l’Écriture, il était fort et vaillant. Il est vrai que les travaux champêtres exigent de la force et du courage. Il appartenait à la tribu de Benjamin. Au temps des juges, celle-ci fut affaiblie par une guerre civile (Juges 20). Les Benjamites étaient les descendants du patriarche Benjamin, dernier fils de Jacob. Sa mère Rachel est morte après un accouchement pénible. Son père l’aimait beaucoup, ainsi que son frère Joseph. L’apôtre Paul ne dissimulait pas sa fierté d’appartenir à cette famille (Philippiens 3.5). Mardochée et Esther étaient Benjamites (Esther 2.5).
Selon la prophétie de Jacob sur son lit de mort, la royauté devait revenir à la tribu de Juda (Genèse 49.10). Or le patriarche (Juda) a commis l’inceste avec sa belle-fille Tamar, par conséquent il perdit le bâton d'autorité. Selon la loi mosaïque, il fallait attendre dix générations pour que le péché soit expié. Le peuple a oublié mais Dieu n'a pas oublié. Israël n’était pas à la dixième génération, il demande un roi. En insistant, l’Éternel va leur accorder un roi issu de l’une des plus petites tribus d’Israël dans laquelle aucune prophétie sur la royauté a été annoncée.
« Et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont » (1 Corinthiens 1.28).
Si aucune prophétie a été proclamée dans votre famille, Dieu est capable de changer l’histoire de votre vie comme il l’a réalisé avec Esther, issue de la tribu de Benjamin, elle est devenue reine.
Toutefois, la volonté permissive de Dieu n’annule pas la prophétie du patriarche, mais elle ne fait que la retarder (Habuk 2.3).
Pour ceux qui ont reçu la prophétie, je vous exhorte à patienter car elle s’accomplira certainement. Sachant que la prophétie prolonge aussi la durée de vie, à l’instar de Siméon qui ne pouvait pas mourir tant qu’il n’a pas vu le Messie (Luc 2.26).
Témoignage sur l'autoédition de Mbala mavoka christophe
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