Tirard Bernard HOLD UP A LA FRANCAISE
344 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 80 g bouffant ivoire
Style litteraire : Contemporain
Numéro ISBN : 979-10-699-0166-7
23.00
€ TTC
Frais de port inclus France
Métropolitaine uniquement
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Présentation de Tirard Bernard
éditeur de HOLD UP A LA FRANCAISE
Bernard TIRARD est enseignant à la retraite.
Aurait aimé se consacrer aux arts mais confronté à l'injustice, à la spoliation de personnes vulnérables par des notaires ou promoteurs et à la criminalité en cols blancs, n'a pas pu prendre de retraite de citoyen.
Présentation de HOLD UP A LA FRANCAISE
L’écriture et la diffusion de ce livre ont suscité quelques questionnements faisant apparaître des paradoxes. Quelle conduite adopter face à l’injustice ?
… D'autre part, l'analyse concluait qu'il était un devoir et un droit de dénoncer les distorsions et violations que les Droits de L'Homme et le droit constitutionnel ne cessent de subir.
Pour un dossier si simple en droit :
- depuis plus de dix années les violations des droits et de la loi ne cessent,
- l'ensemble des personnes, administrations et institutions, en charge de la protection des droits, considérés comme fondamentaux par la DDH et la Constitution, ont été sollicités, saisis, interpellés,
- l'impunité de la criminalité est renforcée,
- les tribunaux ne cessent de condamner les victimes : il semble que ces condamnations soient devenues un moyen de dissuasion et de coercition supplémentaire contre les justiciables qui souhaitent faire valoir leurs droits, violés,
- le « botté en touche » et la politique de l'autruche, des responsables, deviennent une méthode, un sport national, pour permettre l’impunité et l’immunité.
- cette perte de temps complète admirablement le « temps de la justice » qui ne cesse de s'étirer et permet ainsi à de très nombreuses actions judiciaires de s'éteindre et aux coupables, l'impunité,
A ces deux analyses contradictoires s'ajoute le paradoxe d'enfreindre le droit et la loi pour faire valoir le droit et la loi.
En effet, devant ce qu’il convient de nommer une oppression sournoise, la notion de Résistance s'impose alors comme seule issue possible : la parution et la diffusion de ce livre d’intérêt général et de réflexion personnelle entrent dans ce cadre.
Mais se pose alors la question de la légalité et de la légitimité de cette résistance.
… L’article 2 de la DDH, lui, considère ce droit à résistance comme naturel et imprescriptible : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. »
Il n'était pas envisagé, alors, que ce soit les représentants du droit, de la loi, eux-mêmes, qui enfreindraient également les droits fondamentaux.
L'acte de résistance est donc dirigé vers ceux qui sont censés faire valoir et respecter le Droit.
Il s'agit donc de résister à l'oppression de l'autorité publique complice de l'impunité du viol des droits naturels fondamentaux. Par la protection qu'elle assure aux criminels, elle encourage sa généralisation.
Extrait du livre écrit par Tirard Bernard
était une fois, une Île, dite Oléron la lumineuse, au royaume de France… Royaume, oui, car les agissements laissent à penser que cela se passait avant la révolution, avant l’écriture des Droits de L’Homme et du Citoyen. Dans les temps où l’on parlait du fait du prince tant pour attribuer, sanctionner, qu’absoudre.
… mais cela se passe aussi, au XXIe siècle sous une République dite démocratique, dans un Etat dit de Droit : la France […]
… C’était sans compter sur ce que j’ignorais : le Code Civil Oléronais, les ravages de la cupidité, les manquements et la complicité des représentants de l’Etat, de la justice et du droit, mais aussi cette conscience qui ne peut accepter la loi du plus fort, la corruption, la lâcheté, la spoliation de personnes vulnérables, le silence, la médiocrité en somme.
C’était sans compter enfin sur l’inquiétude de laisser aux générations futures un monde dans lequel on a planté les graines de la violence dont, chaque jour, une nouvelle pousse éclôt.
… analyse de l’Institution judiciaire, une réflexion sur la justice, la démocratie… Quelques interrogations et inquiétudes quant à la paix sociale… l’origine de la violence.
…Dans les pages qui suivent, vous pourrez préciser et tester vos connaissances en droit, votre bon sens, votre impartialité. Ce sont des qualités requises pour les magistrats dans le Code de Déontologie.
Vous deviendrez juge arbitre.
Après quelques rappels des différentes lois qui régissent le sujet abordé, des questions vous seront posées sur un cas concret, tiré, de la réalité : il ne vous concerne pas aujourd'hui, par chance pour vous. Vous pourrez éviter la lecture des lois : un résumé est proposé avant les questions.
… Les « bonnes » réponses seront indiquées à la suite. Quelques observations suivront.
Si vous avez lu la première et la troisième partie, le jeu devrait être encore plus facile.
Concernant le nom du propriétaire, victime, seul un X figure suivi de petits points. Vous pouvez y mettre votre nom car comme il vous l’a été démontré : CELA PEUT VOUS ARRIVER.
N’oubliez pas que vous êtes en France, en 2017. Et non « aux Amériques », pendant la conquête de l’ouest où il suffisait d’être le premier sur un terrain pour se déclarer propriétaire.
Les décisions prises par les magistrats risquent de vous induire en erreurs. En effet leurs décisions relèvent de cette époque et ces contrées… et l’auteur des faits semblent avoir trop regardé, de Western.
Témoignage sur l'autoédition de Tirard Bernard
Novice dans l'édition, j'ai été parfaitement guidé. J'ai beaucoup apprécié l'accueil téléphonique et les conseils prodigués.
Aucune mauvaise surprise, les délais tenus, la livraison et la qualité du livre, je ne peux que recommander