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couverture du livre Des escarpins parmi les bottes écrit par Coort Thierry

Coort Thierry Des escarpins parmi les bottes

336 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 80 g bouffant ivoire
Style litteraire : Roman
Numéro ISBN : 978-2-9555534-0-4

24.69 € TTC

Frais de port inclus France
Métropolitaine uniquement

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Présentation de Coort Thierry
éditeur de Des escarpins parmi les bottes


Thierry Coort a consacré sa carrière aux très grandes et aux très petites entreprises. Il a passé 9 ans dans les directions informatiques de deux grands groupes, 12 ans dans le conseil, et 13 ans dans des fonctions de direction commerciale et marketing.

Il a été salarié et entrepreneur, il a travaillé pour des entreprises françaises, américaines, et européennes. Il écrit son premier livre « des escarpins parmi les bottes » à l’âge de 57 ans.

Présentation de Des escarpins parmi les bottes


Céline Baucourt est cadre supérieure dans une entreprise industrielle. Elle nous raconte cinq journées de sa vie professionnelle. Elle nous donne sa vision de ce monde régi par des codes et des règles dont l’écriture est plutôt masculine, et sur lequel se tissent les ambitions et le pouvoir.

En miroir, ses collègues masculins nous exposent leur propre vision de ces journées. Ils maîtrisent mal la nouvelle grammaire du management féminin. Entre surprise et bienveillance, ils accueillent ces esprits étranges qui ne semblent pas s’appliquer à traiter les mêmes enjeux.

Deux sensibilités aiguisées par des a priori ancrés dans l’histoire et l’éducation depuis des millénaires. Deux perceptions qui sont pourtant une chance lorsqu’elles s’équilibrent dans l’harmonie.


Extrait du livre écrit par Coort Thierry


23 h 45…

Enfin ! Voilà ce qu’il faut que je leur propose. Avec un tel brûlot, je devrais parvenir à les réveiller de leur torpeur adolescente. Au lieu de dépenser toute mon énergie pour qu’ils participent, mon souci serait simplement de les canaliser pour que le débat ne dégénère pas. S’ils ne réagissaient pas à de tels écrits, le désespoir serait ma seule issue.

« De même dans la race humaine, on voit avant la puberté la femme égaler ou surpasser l’homme en force et en dépassement physique, souvent aussi en intelligence ; mais peu à peu elle s’y arrête, se laisse distancer et reste en arrière, donnant ainsi, même dans sa supériorité éphémère, preuve d’un phénomène atavique commun aux races inférieures : la précocité. »

Autrement dit, la Femme mûrit très vite, devance l’homme, mais arrête plus vite son développement. C’est « Le Lièvre et la Tortue ».

Cette prose me procure un exceptionnel « poil à gratter ». Tant pis pour le programme officiel. Les grands auteurs classiques attendront. La philosophie doit s’apprendre dans toutes les expériences de vie et sous toutes les formes de littératures. Ce livre est un excellent moyen de les amener à débattre sur le Féminin et le Masculin en évitant les banalités insipides, voire graveleuses, dont ils savent m’abreuver en classe…

Cet auteur n’est pas au programme, mais ses thèses méritent qu’on y consacre un peu de temps. Non pas pour y adhérer. Dieu nous en garde. Mais pour forger d’autres doctrines dans leurs cerveaux en maturation.

Quelle chance d’avoir pu récupérer cette édition originale ! Elle baigne dans l’esprit de l’époque, sans édulcorant, et avec toute la brutalité d’une pensée scientifique qui ne doute pas un seul instant de sa vérité. C’est un flacon de provocation « pur jus ». Surtout pour une classe de Terminale qui pense avoir compris le monde et son histoire, et s’imagine déjà aux manettes pour en changer le destin.

« Il y a un antagonisme entre les fonctions de reproduction et les fonctions intellectuelles, comme entre la genèse, l’accroissement et la structure. Maintenant le travail de la reproduction étant en grande partie dévolu à la femme, pour cette raison biologique elle est restée en arrière dans le développement intellectuel. »

Cet extrait peut être une autre option pour lancer le débat. Il peut se résumer par un aphorisme encore plus provocant, du genre : « J’enfante donc je ne pense pas ». Et comme nous répondrait Pascal, « si je ne pense pas, je ne suis pas ». Quel bon aiguillon pour leurs esprits critiques !

Les draps se tendent brutalement et glissent sur mon ventre. Elle se retourne dans le lit. Elle a le sommeil léger depuis quelques temps. Les excès de stress dans son travail en sont responsables. Espérons qu’elle parvienne à mieux dormir cette nuit. Elle a accumulé un bon retard de sommeil. Et surtout, demain est un jour important pour elle… Je baisse la lumière.

Allez, j’en parcours encore quelques pages et puis j’éteins. Il faut également que je dorme. Demain mon combat commence à 8 h 00 ! Tiens, voici d’autres extraits intéressants pour attiser le feu de leurs échanges.

« Toute femme a un fond de cruauté, et même la plus douce devient cruelle contre son provocateur si elle est offensée, car la cruauté est chez la femme une forme de réaction offensive et défensive. »
« Etant faible, elle est cruelle, car la cruauté est l’unique arme d’offense et de défense d’un être faible contre les plus forts. Ajoutez la moindre sensibilité, la plus grande impulsivité et une excessive irritabilité qui ne lui permettent pas de se maîtriser. »

La cruauté des femmes. C’est une autre pièce à verser au dossier. Cela me rappelle Balzac : « Pour savoir jusqu’où va la cruauté de ces charmants êtres que nos passions grandissent tant, il faut voir les femmes entre elles ». Ici l’auteur est plus analytique.

« La femme tend à se défendre ou à attaquer plutôt en torturant son ennemi qu’en le tuant, elle veut le paralyser par la souffrance. L’homme, au contraire – et c’est ici la différence – toujours, même dans les formes atténuées de la lutte que la civilisation a introduite, tend à détruire son adversaire d’un seul coup. A l’état sauvage, il tue avec la plus grande facilité. »

Ce livre est étonnant. Son auteur l’est encore plus.

Lombroso n’était pas philosophe, mais médecin, professeur de médecine légale et d’hygiène publique, et criminologue. Il a fondé l’école italienne de criminologie. Le titre de son livre, « La femme criminelle et la prostituée » est également étrange. C’est un assemblage de démonstrations stupéfiantes, dans une grande débauche d’analyses et de références, pour diagnostiquer l’infériorité physique et intellectuelle de la femme, et plus généralement de la femelle dans les nombreuses espèces animales.

Tout cela est de la très bonne matière ! Un peu anachronique aux entournures, mais un excellent chiffon rouge pour réveiller mes boutonneux. Bon ! Il faut que je dorme maintenant. Demain matin, la lumière du jour viendra adoucir ces funestes doctrines…

Elle respire faiblement, le nez enfoncé dans l’oreiller, et un bras appuyé lourdement sur mon épaule. Sa tête est parfois secouée par de très légers tressaillements. Ils semblent témoigner d’une intense activité cérébrale, sous ces cheveux blonds négligemment étalés… Fais de jolis rêves mon amour !


Témoignage sur l'autoédition de Coort Thierry


On peut trouver sur ce marché de l'édition, des partenaires très renommés, disposant de grands moyens, mais souvent assez chers. Ou bien d'autres qui sont très économiques mais qui vous laissent dépourvus et sans assistance dans les difficultés. Ou enfin de très célèbres produisant à la demande, dans le monde entier, mais avec qui la communication est ardue et les incidents difficiles à résoudre.

Et puis, il y a Autres Talents... un partenaire certainement plus discret et de moindre notoriété. Mais ancré sur un service client diligent, accueillant et tolérant. Toujours à l'écoute et flexible. Compétent et de très bon conseil. Ce service est assorti de moyens techniques de très bonne qualité, qui délivrent le résultat attendu, en appliquent une tarification raisonnable.

Bref, c'est un partenaire clé qui privilégie la qualité des hommes, la force des outils, et la compétitivité des prix... Trois facteurs qui pourraient accroître sa renommée, et développer ses affaires...

C'est le risque ! Small is beautiful ! Ne changeons pas Autres Talents. Préservons-le.

Donc, s'il-vous-plait, si vous êtes comme moi très satisfait, ne le dites à personne et n'en écrivez rien... ;-)