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couverture du livre Se retrouver, pour mieux se séparer écrit par Studer Thomas

Studer Thomas Se retrouver, pour mieux se séparer

292 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 80 g bouffant ivoire
Style litteraire : Roman
Numéro ISBN : 978-2-9544249-0-3
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19.90 € TTC

Frais de port inclus France
Métropolitaine uniquement

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Présentation de Se retrouver, pour mieux se séparer


Guillaume décolle pour les États-Unis avec femme et enfants. Élodie prend une année sabbatique destination le Pérou. Jean-Philippe et Agnès partent enfin en retraite !

Ils ont tous en commun cette envie de changement dans leur vie, ce besoin irrépressible de prendre un nouveau départ. Guillaume, espère retrouver un bon emploi, bien rémunéré. Élodie, divorcée, cherche dans son voyage à rompre avec le monotone de son quotidien, et pourquoi pas à redécouvrir l’amour.

Jean-Philippe et Agnès rêvent quant à eux souhaite quitter Mulhouse pour émigrer à Soultz, chez papepa.

Mais un lien encore plus fort unit tous ces personnages. Ils se retrouveront, pour mieux se séparer.


Extrait du livre écrit par Studer Thomas


Un peu plus tard, à l’aéroport de Newark (New Jersey, États-Unis)

La file d’attente à la douane américaine semblait interminable. Charlotte pleurnichait, elle n’avait pas beaucoup dormi durant le voyage. Arrivés devant le douanier, Tom observait sa mère s’exécuter sous les ordres de l’agent. Poser les quatre doigts de la main gauche sur une petite vitre puis placer uniquement le pouce. Elle dut faire la même opération pour la main droite. Elle termina par une photo prise par une webcam installée sur un bras articulé.

- Tom, tu vas devoir faire la même chose tout à l’heure, le prévenaient ses parents.

- Je ne veux pas, contesta le garçon.

- Tu n’as pas le choix ! s’emporta son père.

- Mais, j’ai pas envie !


- Arrête Tom ! renchérit sa mère.

Le douanier demanda à Guillaume de poser ses quatre doigts de la main gauche sur le carreau numérique. Les autres doigts ne semblaient pas intéresser l’agent qui se contenta de prendre une photo. Il s’étonna de la durée du séjour des Français et imposa deux tampons sur le passeport de chacun. Il permit à la petite famille de rentrer aux États-Unis sans infliger aux enfants le calvaire des empreintes digitales.

- Thank you, remercièrent en chœur les parents. Quelques mètres plus loin Guillaume et Anne
ouvrirent leur passeport pour regarder la date de sortie indiquée par le tampon à l’encre rouge : 4 mai.

- Deux jours après notre retour ! s’exclama Guillaume.


Au même moment, à Huaraz (une ville péruvienne)…

Fabien ouvrit la porte de la pizzeria. Il ne travaillera pas ce soir, mais l’envie de voir son ami Julien le motiva à passer par le restaurant avant de rentrer chez lui.

Le patron de la pizzeria ‘El Horno’ garnissait la pâte étalée sur le plan de travail tout en conversant par téléphone, le combiné coincé entre l’oreille et l’épaule.

En voyant son ami suisse pousser la porte du restaurant, il le reçut par un large sourire et un signe de la tête.


- Holá, Fabien.

Gloria se hissa sur ses doigts de     pieds pour embrasser sur la joue le visiteur.

- Holá, Gloria. Eh bien, tu en as du boulot ce soir !

- Tu restes ?

- Ah non ! Je suis épuisé.

Fabien regarda autour de lui, presque toutes les tables étaient occupées.

- Salut Fabien ! cria Julien qui visiblement avait fini sa conversation téléphonique. Son ami s’approcha du comptoir, lui prit l’appareil posé sur l’épaule et l’accrocha sur le support mural. Julien, les mains
pleines de farine, remercia son ami helvète :

- Merci… Alors ? Comment s’est passée ta journée ?

- Pas mal, merci. J’avance doucement.

- Tu pourras ouvrir l’agence à la date prévue ?

- J’espère ! On lance le site internet, la semaine prochaine !

- En tout cas c’est super ce que tu fais pour tous ces gens-là.

Fabien regardait songeur le feu crépiter dans le four. A l’autre bout du restaurant, Gloria prenait la
commande d’un groupe d’Espagnols qui n’arrivaient pas à se décider sur le choix de leurs pizzas. La
serveuse ne quittait pas des yeux l’homme accoudé au comptoir.


Témoignage sur l'autoédition de Studer Thomas


Merci beaucoup pour votre excellent travail. Je vous avoue que j’ai longtemps hésité avant de confier mon roman à un imprimeur. J’ai rendu visite à des ateliers, observé les réalisations de certains de vos confrères et concurrents.

Puis me fiant aux commentaires des autoéditeurs vous ayant fait confiance et après avoir observé un des ouvrages sortant de vos presses, je me suis lancé. Vous avez pris en compte mes requêtes, les délais de fabrication et de livraison ont été respectés. J’ai été agréablement surpris par votre professionnalisme.

Un grand merci à Autres Talents.