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couverture du livre Métaphysique JE Suis éternel. Maintenant la fin de l'Humanité écrit par Beaudoin Patrice

Beaudoin Patrice Métaphysique JE Suis éternel. Maintenant la fin de l'Humanité

144 pages
A5 : 14.8 x 21 cm
sur papier 90 g offset
Style litteraire : Savoir
Numéro ISBN : 978-2-35682-555-1

18.00 € TTC

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Présentation de Métaphysique JE Suis éternel. Maintenant la fin de l'Humanité


Maintenant la fin de l'humanité. L'humanité est le mal et l'écart type. Le syndrome de l'écart type est un ensemble de signes qu'un être humain est susceptible de présenter de par ses écarts à la Vérité. L'espace-temps est l'écart à Ce qui est de par sa nature Absolue.

Le premier pas vers l'observation du cours des événements est l'écart type et l'illusion du moment présent. Écart dont la source est toujours pathologique même si l'humain n'est pas conscient de son écart. Ce que JE Suis n'est jamais né. Seul la forme évolue et se déforme dans l'espace et le temps, non Ce que JE Suis par nature c'est pourquoi la personne physique que vous pensez être se construit toujours un monde fictif duquel elle ne pourra jamais s'extraire d'elle-même !...L'autre ne peut être conscient qu'il observe à côté. Ce que vous êtes est le seul moteur immobile de l'univers c'est pourquoi pour aller d'un point à un autre seul le corps physique se déplace et évolue dans le temps, mais ce que vous êtes par nature est incommensurable et donc immobilité totale Fusion Espace dans l'Espace.

L’œil peut évaluer la distance entre un point A et un point B mais ne peut en aucune façon connaître l'incommensurable fusion A en A. Ce qui est existence réel déjà totalité réalisée en lui-même est sans l'effort des sens. Ce n'est pas le connaître la source du problème en Soi mais la place que le sujet lui concède.

Quand la personne fait de la connaissance l'objet de la conscience, la source de la connaissance change d'elle-même la perception et la nature des choses. Le sujet devient alors l'objet de la connaissance livresque car il la tient pour sienne et acquise. C'est ainsi que naît le paradoxe parce que la source de la connaissance réelle est intemporelle, incommensurable donc jamais née. C'est pour cette raison que vous vous devez de rendre à César Ce qui appartient à César, ne rien garder en la forme pour soi=même. Vous vous devez de ne rien apprendre, car l'appris, objet (onde), forme en la conscience, crée l'impasse et le temps dans l'espace (faille, vide et manque).


Extrait du livre écrit par Beaudoin Patrice


Qu'est-ce que notre réalité physique ?

La réalité physique est le commencement et la fin, formes de la pensée dans le maintenant. Une illusion puisque Ce que Je Suis en Vérité est par nature incommensurable.

Lorsque nous cherchons la vérité d'une chose, d'un fait, d'une expérience, lorsque la Raison observe l'infinitude, lorsque nos yeux regardent le cours des événements dans le moment présent, lorsque l'humain tourne son attention vers sa propre histoire, la raison dessine toujours à l'envers le contenu de la forme ; cependant, toujours elle se trompe, car celui qui cherche n'est pas différent de la chose observée et de fait, celui qui cherche ne peut découvrir ce qu'il en est du réel, car nos yeux ne peuvent voir la totalité, manque l'inconnu et ce qui existe hors du champ présent. La pensée ne peut voir la Vérité Nue, comme elle ne peut mesurer ce qui anime l'être humain par nature.

Lorsque la personne observe l'expérience dans le moment présent, la pensée regarde la pyramide de face, tourne l'attention vers la nature observable des choses, ce qui est de la matière observable, c'est la conséquence de, « l'apparence immédiate », et de l'incidence. La forme du triangle se dessine là devant, dans la lumière de la pensée présente maintenant. C'est ainsi qu'une forme de vérité nous apparaît en conscience comme réelle et certaine. C'est le comprendre immédiat, mais est-ce la vérité Absolue ? Non, car le langage de la pensée en la forme peut observer la forme de la pyramide ''matière observable ou le connu'', mais jamais elle découvre l'inconnu, c'est-à-dire l'autre partie ou ce qui se trouve derrière l'apparence ''la nature invisible d'une chose'' et ce qui se situe hors du moment présent, hors du corps physique et hors de la conscience. Et lorsque nous avançons dans notre recherche, nous pourrons alors observer une autre forme de comprendre. Le volume change, la couleur du comprendre se transforme sous la pression des formes du désir illusoire, l'image de la pensée se redessine et s'illumine encore et toujours. C'est ainsi que la réalité présente matérielle et physique, change à la lumière de chaque instant. L'imaginaire forme en conscience une vérité immédiate, mais est-ce la réalité de ce qui est ? Non, car si nous passons derrière la pyramide, nous y trouverons deux autres triangles, deux autres formes de comprendre. Mais est-ce la réalité ? Non car nos yeux nous trompent une fois encore. Alors, creusons la chose et hissons-nous au sommet de la pyramide du moment présent. Du haut de notre grandeur '' être humain'', nous pouvons alors observer le carré et ce qui forme la base de la pyramide ; s'élèvent au-dessus les quatre triangles ''les murs de l'illusion mentale'' et la forme définitive du comprendre. Arrivé à ce stade de la recherche, nous serons à même de certifier avoir trouvé la vérité. Émerveillés, comme hypnotisés par le comprendre, nous serons persuadés d'avoir trouvé l'ultime vérité ; cependant, est-ce la réalité hors du moment présent c'est-à-dire l'Absolu ? À l'évidence non, car il est impossible d'être Conscient dans l'in-conscient, d'être Ce qui perçoit, d'être la connaissance réelle et certaine, d'être la totalité, voir la totalité de la pyramide ou l'entièreté de l'expérience à partir de sa propre expérience dans le champ du moment présent : Ce qui est perçu par les sens ne peut être la source et Ce qui perçoit. Le comprendre est l' « objet » et nous informe qu'en définitive, il reste toujours une face cachée à découvrir, c'est-à-dire le réel JE Suis. Liée à la nature visible des objets, la voie matérielle dans le champ du présent interdit d'être Conscient dans l'in-conscient, interdit d'être le TOUT. Toute vérité est bonne à prendre en compte, cependant savoir que cette vérité porte à elle seule le manque est la sécurité. À elle seule, cette petite expérience nous montre que l'être humain, lié à l'observation dans le moment présent '' comme enfermé dans sa propre histoire '' ne peut en aucune manière être Conscient de la Cause d'une expérience, d'un fait, d'une chose, car nos sens n'ont accès qu'à l'apparence dans le moment présent, ou en tout cas à la nature visible observable des choses, c'est-à-dire au visible et la totalité de l'illusion puisque le visible est irréel, un effet faussé lié au temps. Positive comme négative, une pensée sincère est une contradiction en les termes, un paradoxe. La forme n'existe pas ou devrais-je dire existe que pour l'ignorant. Une pensée naît de l'illusion de la séparation. La relation du sujet à l'objet est la preuve de l'accident de la physique comme l'intervention de la personne sur le cours des événements est la preuve de l'ignorance du sujet. Rien est possible en la forme puisque TOUT existe déjà totalité réalisée Ici et maintenant hors de la physique et hors du temps. TOUT est possible sans la définition puisque Rien ne se réalise par l'intellect dans le moment présent. Rien est impossible puisque TOUT est déjà programmé Ici dans le Soi omniprésence continue. TOUT est impossible en la forme puisque la totalité est existence sans forme. La question du possible comme de l'impossible changement sur le cours des événements ne se pose que lorsque l'ignorance se présente dans le moment présent puisque la Vérité est par Nécessité incommensurable. De qui à qui, la question se pose juste pour prendre insidieusement la place du Soi. Mais le possible comme l'impossible n'existe pas séparé l'un de l'autre. La vérité est l'absolue sans la forme du possible et de l'impossible. La Vérité JE Suis est le libre Arbitre. C'est pourquoi l'entité '' homme -le mental '' ne peut ni connaître ni comprendre ni savoir ni voir la vérité.

Nos sens nous trompent. La maladie des yeux est l'ignorance et de l'ignorance naît l'athéisme et les croyances en termes de commencements et les fins.

Dans sa quête de sécurité l'homme sacrifie toujours la liberté. Le paradoxe tient dans le fait que seule la Vérité libère des formes illusoires de la conscience. Paix et libre arbitre ne fait qu'Un. La paix est déjà contenue dans le libre Arbitre et Ce que vous êtes par nature, le Soi. C'est pourquoi, la personne et Ce qui veut rassembler ou œuvrer pour la paix dans le maintenant est aussi ce qui divise en arrière-plan dans la conscience en termes de commencements et de fins car hier demain donc l'illusion ne peut jaillir dans la conscience que maintenant. La personne qui sacrifie la liberté pour plus de sécurité ne peut être ni l'une ni l'autre. Être la Paix impose de comprendre le processus du paradoxe de la conscience mais vous vous devez de comprendre au-delà de la personne qui comprend car si la personne est présente dans le moment présent, c'est encore l'ignorant qui comprend. Cependant l'ignorant, de par sa forme illusoire paradoxale, ne peut et ne pourra jamais comprendre le réel non-temps. Alors trouvez la personne, débarrassez-vous de l'ignorance et vous constaterez que le mental n'existe pas et n'a jamais existé. Je le dis et le répète. La Vérité est sans le commencement et la fin, qu'aucune route, aucune discipline, aucune religion, aucun maître ne permet de l'atteindre. Tel est mon point de vue. Je le maintiens de façon Absolue. La vérité, de par sa nature incommensurable est inapprochable par quelque chemin que ce soit, ne peut être ni régentée ni organisée ni apprise. Créer une organisation de manière à conduire les gens sur une voie déterminée est un paradoxe. Une croyance est purement personnelle. Vous ne devez pas car vous ne pouvez pas l'organiser. Une croyance est une illusion et vous ne pouvez pas organiser ce qui n'a pas d'existence propre.